Parcours n°16 - Le Tour des Têtes - VTTAE
L'Argentière-la-Bessée

Parcours n°16 - Le Tour des Têtes - VTTAE

Col
Faune
Flore
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Circuit difficile qui domine les gorges de la Durance adapté aux pratiquants expérimentés.
Ce circuit de bon dénivelé vous conduira aux portes de la mine du Fournel ainsi qu’au vallon glaciaire éponyme. Patrimoine exceptionnel et vue saisissante seront au rendez-vous avant d’entamer une descente technique fort intéressante.

Description

Le départ se fait au plein centre-ville non loin du pont qui enjambe la Durance. Il faut partir plein Sud en direction de la gare.

1. Après avoir laissé la gare sur la droite et traverser sous le pont du chemin de fer, prendre la direction des mines du Fournel en suivant la D423.

2. Au parking des mines, continuer sur la petite route qui s’enfonce dans le vallon.

3. Au pont des Albrands, prendre la piste forestière qui monte à droite au col de la Pousterle.

4. Au parking de la Pousterle, suivre la piste orientée plein Est vers la droite.

5. Après le Champ des Ans, à 1541m, prendre le sentier de droite : début du joli single de descente. Il existe dans cette descente des terrains cassants où petits blocs et pierres roulantes s'entremèlent. L'intertie du VTTAE peut rendre ces passages plus techniques.

6. Au niveau des premières maisons de L’Argentière-la-Bessée, rejoindre la route sur la gauche puis celle de droite au prochain croisement, qui vous ramènera au centre-ville.
  • Départ : Place du kiosque, L’Argentière-La Bessée
  • Arrivée : Place du kiosque, L’Argentière-La Bessée
  • Communes traversées : L'Argentière-la-Bessée et Les Vigneaux

Profil altimétrique


Recommandations

Avant de partir en VTT, il est impératif de consulter les périodes d’ouverture du parcours sur le site : https://www.onpiste.com/explorer/routes/le-tour-des-tetes-4554 

Attention
: Ces informations sont données à titre indicatif. Il est de votre responsabilité de vérifier le bulletin météo et les conditions avant votre départ. L’Office de tourisme et le PNE ne pourront aucunement être portés responsable en cas d’accident. En cas de doutes, s’adresser à des professionnels : moniteurs ou loueurs de matériels. 


Coordonnées des secours : Secours Montagne : 112  


Respecter le travail des agriculteurs, exploitants et propriétaires 

Refermer toutes les clôtures 

Rapporter tous ses déchets 

Ne pas couper l'itinéraire à travers les prairies

Lieux de renseignement

Bureau d'Information Touristique de L'Argentière-La Bessée

23 Avenue de la République, 05120 L'Argentière-La Bessée

https://www.paysdesecrins.com/contact@paysdesecrins.com+33(0)4 92 23 03 11

Bureau d'Information Touristique de Puy Saint Vincent 1400

Les Alberts, 05290 Puy Saint Vincent 1400 m

https://www.paysdesecrins.com/contact@paysdesecrins.com+33(0)4 92 23 35 80

Bureau d'Information Touristique de Vallouise

Place de l'Eglise, 05340 Vallouise

https://www.paysdesecrins.com/contact@paysdesecrins.com+33(0)4 92 23 36 12

Maison du Parc de Vallouise

, 05290 Vallouise

http://www.ecrins-parcnational.fr/vallouise@ecrins-parcnational.fr04 92 23 58 08

Information, documentation, maquette, expositions, projections, vente des produits et ouvrages du Parc. Visites guidées pour les scolaires, réservation obligatoire. La nouvelle Maison du parc a ouvert à Vallouise depuis le 1er juin et propose aux visiteurs une exposition permanente interactive invitant à la découverte du territoire et de ses patrimoines. Un espace d'exposition temporaire permettra une offre renouvelée. Enfin,le dispositif est complété par une salle audiovisuelle permettant d'organiser projections et conférences Entrée libre. Toutes les animations du Parc sont gratuites sauf mention contraire.

En savoir plus

Transport

Transports en commun >> https://services-zou.maregionsud.fr/fr/

Pensez au covoiturage >> www.blablacar.fr

Pour plus de renseignements, s'adresser au Bureau d'Information Touristique le plus proche du départ de la randonnée >> www.paysdesecrins.com

Accès routiers et parkings

À 16 km de Briançon, prendre la N94.

Stationnement :

Parking de la place du kiosque, L’Argentière-La Bessée

Zones de sensibilité environnementale

Le long de votre itinéraire, vous allez traverser des zones de sensibilité liées à la présence d’une espèce ou d’un milieu particulier. Dans ces zones, un comportement adapté permet de contribuer à leur préservation. Pour plus d’informations détaillées, des fiches spécifiques sont accessibles pour chaque zone.

Circaète Jean-le-Blanc

Nidification du Circaète-Jean-le-Blanc.

Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.

Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale 300m sol quand vous survolez la zone ! Soit 1650m d'altitude pour cette zone.
Domaines d'activités concernés :
Aerien, Manifestation sportive
Périodes de sensibilité :
marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
Contact :
Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr

Faucon pèlerin

Nidification du Faucon pèlerin.

Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Faucon pèlerin en période de nidification sont principalement le vol libre et les pratiques verticales ou en falaise, comme l'escalade ou l'alpinisme. Merci d'éviter cette zone !

En cas de survol merci de rester au-dessus de 2140m d’altitude à une distance de 300m sol.

Au site dit de Grand Bois, le couple de faucons a retrouvé son aire de prédilection dans le secteur "flamme de pierre" ; à éviter donc.

http://www.ecrins-parcnational.fr/actualite/amis-grimpeurs-attention-aux-pelerins-voies?fbclid=IwAR2Z8hX_38vpdW3mS499aRnY08jarhfm-5-eNV8K29k3WB3q3Ik2US_Alec
Domaines d'activités concernés :
Aerien, Vertical
Périodes de sensibilité :
févr.marsavr.maijuin
Contact :
Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr

Circaète Jean-le-Blanc

Nidification du Circaète-Jean-le-Blanc

Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.

Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale de 300m sol quand vous la survolez soit 1650m d'altitude !

Domaines d'activités concernés :
Aerien, Manifestation sportive
Périodes de sensibilité :
marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
Contact :
Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr

Circaète Jean-le-Blanc

Nidification du Circaète-Jean-le-Blanc

Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.

Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale de 300m sol quand vous la survolez soit 1850m d'altitude !

Domaines d'activités concernés :
Aerien, Manifestation sportive
Périodes de sensibilité :
marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
Contact :
Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr

Circaète Jean-le-Blanc

Nidification du Circaète-Jean-le-Blanc

Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.

Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale de 300m sol quand vous la survolez soit 1900m d'altitude !

Domaines d'activités concernés :
Aerien, Manifestation sportive
Périodes de sensibilité :
marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
Contact :
Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr

Les 16 patrimoines à découvrir

  • Architecture

    L’Argentière-la-Bessée

    L’Argentière-la-Bessée recèle un riche passé minier et industriel qui a marqué la culture et le paysage local.
    Les mines d’argent, à l’origine du nom de la ville, ont été exploitées jusqu’au début du 20ème siècle. A partir de 1909, la commune connut une intense activité industrielle. La construction d’une centrale hydroélectrique alimentée par un réseau de conduites forcées sera en effet à l’origine de l’installation de l’usine d’aluminium de la « société électrométallurgique française », devenue ensuite l’usine Pechiney. L’usine fermera ses portes en 1985.

  • Histoire

    Les anciennes cités ouvrières

    De nombreux ouvriers sont embauchés dans l’usine Péchiney et des cités ouvrières sont construites. Ces cités sont aujourd’hui démolies. L’architecture des maisons étaient différente selon le niveau hiérarchique  de l’employé. Une mairie, un cinéma, un kiosque à musique, des églises ont été construits. 

  • Histoire

    Le compresseur mobile

    Dans les mines, l’air comprimé permet de chasser la poussière et de créer de l’énergie pour les perforatrices. Le compresseur mobile contient, dans un réservoir résistant, de l’air comprimé qui est amené à une forte pression via une pompe (le compresseur). Une conduite permet ensuite de distribuer l’air comprimé aux machines de la mine.

  • Histoire

    La turbine Francis

    L’américain James Francis a mis au point la turbine Francis entre 1849 et 1855. Il s’agit d’une turbine “à réaction” adaptée à des moyennes chutes (entre 15 et 500 m de chutes). L’eau entre dans la turbine puis circule entre les aubes directrices et les aubes de la roue, qui sont fixes, alors que la roue intérieure est mobile. La pression à l'entrée de la roue est supérieure à la pression de sortie de la roue. 

  • Histoire

    Le wagonnet des Mines du Fournel

    Les wagonnets remplis de matière abattue dans les chantiers étaient poussés sur des rails par les mineurs.  

    Les wagonnets étaient appelés les “chiens de mine”. Ils étaient construits en bois puis des pièces de fer sont progressivement ajoutées. À la fin du XIXème siècle, les wagonnets deviennent métalliques. 

  • Petit patrimoine

    La chapelle Saint-Jean

    Édifiée au XIIème siècle et classée monument historique, la chapelle Saint-Jean est de style roman. Des sépultures taillées dans le rocher ont été découvertes par le biais de fouilles récentes. 

  • Petit patrimoine

    Les mines d’argent

    Le sentier passe à proximité des mines d’argent qui ont donné son nom à la commune de l’Argentière. Leur exploitation a débuté à l’époque médiévale puis s’est éteinte avant de reprendre au XIXème siècle. Elles ont définitivement fermé en 1908. Depuis 1992, le site fait l’objet de fouilles archéologiques avec d’importants travaux de dégagement de matériaux charriés par les crues du Fournel. Leur visite avec un guide (sur réservation) laisse admiratif : que d’ingéniosité et de travail pour extraire la galène argentifère !
  • Eau

    Le Fournel

    Le torrent du Fournel est généreux. Ses eaux fournissent une grande partie de l’eau potable de la ville, alimentent des canaux d’irrigation, sont utilisées pour l’hydro-électricité et offrent un espace ludique et économique par son canyon situé dans sa gorge de raccordement à la Durance. Torrent de montagne donc impétueux, il est en revanche aménagé de seuils et endigué plus bas afin d’éviter les catastrophes naturelles. C’est le sort de nombreux torrents de montagne…

  • Faune

    La chevêchette d'Europe

    C’est au printemps qu’on peut entendre ce petit rapace nocturne ; ou en automne, période à laquelle il peut lancer de drôles de cris. D'activité diurne et crépusculaire, la chouette chevêchette est une prédatrice de passereaux et de petits rongeurs forestiers.  Mais lorsqu'ils la repèrent, les passereaux n'hésitent à venir la houspiller en grand nombre afin de rendre vaine toute tentative d'attaque surprise. Elle est inféodée aux forêts de montagne où elle recherche les arbres à cavité de pic pour établir son nid.

  • Point de vue

    Le vallon du Fournel

    Voici le côté sud du col de la Pousterle et sa vue sur le très long vallon du Fournel, connu pour ses mines, ses cascades de glace, ses chardons bleus, son canyon et autres trésors. En bas, c'est L'Argentière-la-Bessée. En haut, tout au fond, c'est le Champsaur !
  • Col

    Le col de la Pousterle

    La pousterle, en occitan haut-alpin, c’est une petite porte (une poterne). Il vient du latin posterula qui signifie la porte de derrière. Ce toponyme désigne parfois un col, qui est une porte entre deux vallées en quelque sorte ! Les glaciers ont creusé cette porte où passait un bras entre le glacier qui occupait le vallon du Fournel et celui qui s’écoulait dans celle de Vallouise.
  • Col

    Le col de la Pousterle

    La pousterle, en occitan haut-alpin, c’est une petite porte (une poterne). Il vient du latin posterula qui signifie la porte de derrière. Ce toponyme désigne parfois un col, qui est une porte entre deux vallées en quelque sorte ! Les glaciers ont creusé cette porte où passait un bras entre le glacier qui occupait le vallon du Fournel et celui qui s’écoulait dans celle de Vallouise.

  • Flore

    Le mélèze

    Emblème des Alpes du sud, ce résineux perdant ses aiguilles en hiver, se  pare d’or et illumine la montagne à l’automne. Les mélézins sont entretenus par le pâturage des troupeaux. Sans eux, d’autres arbres comme le sapin ou différents pins peuvent pousser pour donner un autre type de forêt. Espèce pionnière, le mélèze ne craint pas la lumière pour s’installer. Son bois résistant et imputrescible a toujours servi pour la construction des maisons. 

  • Faune

    Les chauves-souris forestières

    Les chauves-souris ne vivent pas que dans les grottes ! En été, certaines espèces forestières s’abritent pendant le jour dans de vieux arbres creux ou des trous de pics. Les femelles peuvent aussi y faire une petite colonie où naîtront les petits (un par femelle). Dans cette forêt encore jeune sans trop de vieux arbres, des gîtes ont été installés pour aider les chauves-souris et mieux les étudier.
  • Faune

    La chouette chevêchette

    C’est au printemps qu’on peut entendre ce petit rapace nocturne ; ou en automne, période à laquelle il peut lancer de drôles de cris. D'activité diurne et crépusculaire, la chouette chevêchette est une prédatrice de passereaux et de petits rongeurs forestiers.  Mais lorsqu'ils la repèrent, les passereaux n'hésitent à venir la houspiller en grand nombre afin de rendre vaine toute tentative d'attaque surprise. Elle est inféodée aux forêts de montagne où elle recherche les arbres à cavité de pic pour établir son nid.

  • Flore

    L’épilobe en épi

    Le long des pistes forestières, s’étalent de grands massifs d’une haute plante aux nombreuses fleurs purpurines, disposées en épis lâches. L’épilobe en épi, plante pionnière, affectionne les talus de piste, les sols qui ont été remués. À la fin de l’été, ses très nombreuses graines dotées d’un plumet s’envolent en masse dans la lumière déjà rasante…


Source


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