Parcours n°18 - Les Eyssuches - VTTAE
Description
1. Au niveau de la route nationale, traverser en face et monter jusqu’au cimetière, le contourner par le Nord en suivant une piste forestière.
2. Au croisement des pistes, continuer plein Sud sur la piste forestière.
3. Au prochain carrefour, laisser la citerne sur votre gauche et continuer la descente plein Sud sur la piste.
4. Quitter la piste et prendre à gauche un petit sentier qui traverse en forêt et descend jusqu’à la Roche de Rame. Un pierrier à traverser peut s'avérer plus difficile à pédaler en VTTAE.
5. Après la chapelle Saint Roch de Géro et la traversée du torrent, s’engager sur la petite route sur votre droite.
6. En amont de la route nationale, prendre à gauche le passage sous le pont. En VTTAE, il est préferable de mettre pied à terre pour rejoindre la passerelle et la traverser.
7. Traverser plein Sud l’ancienne déchetterie.
8. Au pont des traverses, rejoindre la route en rive droite de la Durance qui vous ramène à Plan Léothaud.
9. Passer à droite sous le chemin de fer puis à gauche direction la Base de loisirs.
10. Rejoindre la voie verte qui vous mène jusqu’au départ du circuit
- Départ : Place du kiosque, L’Argentière-la-Bessée
- Arrivée : Place du kiosque, L’Argentière-la-Bessée
- Communes traversées : L'Argentière-la-Bessée, La Roche-de-Rame, Freissinières et Champcella
Profil altimétrique
Recommandations
Attention : Ces informations sont données à titre indicatif. Il est de votre responsabilité de vérifier le bulletin météo et les conditions avant votre départ. L’Office de tourisme et le PNE ne pourront aucunement être portés responsable en cas d’accident. En cas de doutes, s’adresser à des professionnels : moniteurs ou loueurs de matériels.
Coordonnées des secours : Secours Montagne : 112
Respecter le travail des agriculteurs, exploitants et propriétaires
Refermer toutes les clôtures
Rapporter tous ses déchets
Ne pas couper l'itinéraire à travers les prairies
Lieux de renseignement
Bureau d'Information Touristique de L'Argentière-La Bessée
23 Avenue de la République, 05120 L'Argentière-La Bessée
Bureau d'Information Touristique de Puy Saint Vincent 1400
Les Alberts, 05290 Puy Saint Vincent 1400 m
Bureau d'Information Touristique de Vallouise
Place de l'Eglise, 05340 Vallouise
Maison du Parc de Vallouise
, 05290 Vallouise
Information, documentation, maquette, expositions, projections, vente des produits et ouvrages du Parc. Visites guidées pour les scolaires, réservation obligatoire. La nouvelle Maison du parc a ouvert à Vallouise depuis le 1er juin et propose aux visiteurs une exposition permanente interactive invitant à la découverte du territoire et de ses patrimoines. Un espace d'exposition temporaire permettra une offre renouvelée. Enfin,le dispositif est complété par une salle audiovisuelle permettant d'organiser projections et conférences Entrée libre. Toutes les animations du Parc sont gratuites sauf mention contraire.
Transport
Pensez au covoiturage >> www.blablacar.fr
Pour plus de renseignements, s'adresser au Bureau d'Information Touristique le plus proche du départ de la randonnée >> www.paysdesecrins.com
Accès routiers et parkings
Stationnement :
Zones de sensibilité environnementale
Circaète Jean-le-Blanc
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.
Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale 300m sol quand vous la survolez soit 1650m d'altitude pour cette zone.
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive
- Périodes de sensibilité :
- marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Circaète Jean-le-Blanc
Nidification du Circaète-Jean-le-Blanc
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.
Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale de 300m sol quand vous la survolez soit 1650m d'altitude !
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive
- Périodes de sensibilité :
- marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Circaète Jean-le-Blanc
Nidification du Circaète-Jean-le-Blanc
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.
Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale de 300m sol quand vous la survolez soit 1900m d'altitude !
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive
- Périodes de sensibilité :
- marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Circaète Jean-le-Blanc
Nidification du Circaète-Jean-le-Blanc
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.
Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale de 300m sol quand vous la survolez soit 1525m d'altitude !
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive
- Périodes de sensibilité :
- marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Les 17 patrimoines à découvrir
- Faune
Le pouillot de Bonelli
D’avril à juin, un chant d’oiseau bien peu mélodieux, un trille court et sonore, retentit dans la forêt. C’est celui du Pouillot de Bonelli, revenu de migration. C’est un oiseau au plumage assez terne, vert olive avec le ventre blanc. Bien pratique pour se dissimuler dans les branches mais beaucoup moins pour se faire remarquer par une femelle. Une seule solution : chanter fort ! - Histoire
La conduite forcée
C'est à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle que l'hydroélectricité prend toute son ampleur à L'Argentière-la-Bessée. De l'eau dévalant des montagnes, il y en a ici pour produire de l'électricité, à l'heure où on ne sait pas encore la transporter, quitte à la détourner, en creusant nombre de galeries et de conduites forcées. La production d'aluminium peut commencer, de même qu'une activité de quartz fondu, pour fabriquer des verres spécialisés pour la chimie.
- Faune
L'Alexanor
Ce très beau papillon rare ressemble à s'y méprendre à deux autres papillons plus communs : le flambé et le machaon. Il vit sur les côteaux calcaires et chauds. Bien que protégé, il est menacé par la diminution de son habitat du fait notamment de l'urbanisation et par sa capture et son commerce (illégaux) pour les collectionneurs. - Géologie et géographie
La haute vallée de la Durance
Protégée des influences atlantiques par le Massif du Pelvoux, la haute vallée de la Durance est soumise à un climat très sec, avec de fortes variations saisonnières de températures. Elle abrite des pelouses qui s’apparentent aux steppes d’Europe centrale et sont rares en France. Elle est intégrée dans le site Natura 2000 « Steppique durancien et queyrassien ». - Faune
Le circaète Jean-le-Blanc
C’est en mars que ce grand rapace brun sur le dessus et blanc moucheté de noir en dessous, avec la tête sombre, revient d’Afrique subsaharienne où il a passé l’hiver. Il se nourrit surtout de reptiles qu'il chasse dans les zones steppiques ou dénudées, les friches ou les pierrailles. Il construit son nid dans un pin où grandira un seul poussin. On peut facilement l’observer faisant du surplace dans les airs, à une trentaine de mètres du sol, puis fondre sur sa proie. - Petit patrimoine
La Roche-de-Rame
La commune de la Roche-de-Rame se situe entièrement sur la rive gauche de la Durance. Comme à L'Argentière-la-Bessée, son histoire récente est fortement marquée par l'industrie en pleine expansion au début du XXème siècle. Bien connue pour son plan d'eau naturel, un lac d'origine glaciaire, la commune égrène ses hameaux sur le versant. Plus haut, deux immenses vallons s'enfoncent dans le massif faisant charnière avec le Queyras. - Faune
Le milan noir
Un rapace tourne lentement au-dessus de la vallée. Il est sombre avec une queue légèrement échancrée. Un milan noir, revenu d'Afrique au printemps. Il se nourrit de charognes ou de déchets ainsi que de poissons. On peut le confondre avec le milan royal, marron, roux et blanc avec une queue beaucoup plus échancrée. Ce dernier ne niche pas dans le massif. C'est seulement pendant les périodes de migration que l'on peut l'observer dans la vallée de la Durance.
- Faune
Le milan noir
Rapace hivernant en Afrique, le milan noir revient dès la fin mars aux environ de ce tronçon de la Durance. Se nourrissant de charognes, de poissons ou même de déchets, il est lié aux abords des grandes rivières comme la Durance. Un peu plus gros qu'une buse (150 cm d'envergure), il se reconnaît à sa queue légèrement échancrée et à son plumage assez sombre. - Histoire
Les radeliers de la mémoire
Durant des siècles, passaient sur la Durance non des kayaks mais des radeaux constitués de troncs de sapins, épicéas ou mélèzes. Le flottage du bois issu des forêts de l'Embrunais ou du Queyras permettait de l'acheminer vers les grandes agglomérations de Provence. Il était utilisé pour le chauffage et pour la construction navale, notamment pour la Marine royale. Une reconstitution de la descente de la Durance s'effectue maintenant chaque année grâce à une poignée de passionnés, les radeliers de la mémoire. - Faune
Le rossignol philomèle
Bien caché dans un buisson, le mâle du rossignol lance son chant sonore et très varié. Quel bavard ! Il chante même la nuit ! Cet oiseau ne dépasse guère 1200 m d'altitude mais à Rame, il est bien présent. Il affectionne en effet les lieux chauds, souvent au bord de l’eau, et niche dans les buissons. Oiseau migrateur, il passe l'hiver en Afrique. - Eau
Le stade d’eau vive
Dans le cadre de sa restructuration, après la fermeture du site industriel, la ville de L’Argentière-la-Bessée s’est orientée vers le tourisme sportif en mettant en avant les éléments naturels présents sur site, à savoir l’eau. Situé au départ du plus grand parcours navigable de la Durance, la commune a décidé d’être un véritable centre d’eau vive en réalisant ce stade en 1993 sur une longueur de 400 m. Ainsi, de par sa notoriété et sa situation, ce stade accueille, chaque année, plusieurs compétitions de renom aux niveaux national et international. - Eau
Le Fournel
Le Fournel prend sa source dans la vallée du Fournel, au cœur du Parc national des Écrins et se jette dans la Durance vers le stade d’eau vive. Il est connu pour être un canyon très ludique pour les hauts-alpins et le plus fréquenté du Haut Val Durance. Il est idéal pour une initiation à la verticalité notamment par la présence de plusieurs sauts, toboggans et rappels. Son accès est autorisé d’avril à octobre et est réglementé car il se situe en aval d’une prise d’eau EDF, ce qui présente un réel danger.
- Eau
La Durance
La Durance est la plus importante rivière de Provence. Elle prend sa source sur la commune de Montgenèvre à 2 390 m d’altitude, pour rejoindre le Rhône, au sud d’Avignon. Cette rivière est « pluvio-nivale », c’est-à-dire que son débit dépend de l’apport naturel en eau dû à la fonte des neiges et aux pluies. Ainsi, elle représente un véritable terrain de jeux pour les kayakistes de l’Europe. - Histoire
Ancienne zone industrielle de L’Argentière-la-Bessée
Sur les deux murs de ces anciennes industries, vous pourrez découvrir l’histoire de L’Argentière-la-Bessée, marquée par son ère industrielle notamment par la présence d’une centrale hydroélectrique, créée entre 1907 et 1909, exploitant la force motrice des chutes d’eau de montagne. C’était la plus puissante centrale d’Europe à cette époque. De plus, d’autres industries étaient aussi présentes comme la Société du Quartz Fondu ou l’usine d’aluminium et permettaient de faire vivre un grand nombre d’ouvriers. - Histoire
L’usine Péchiney
La société électrométallurgique française s’installe à L’Argentière en 1907. La construction de l’usine d’aluminium débute en 1909 et c’est en 1910 qu'elle ouvre ses portes grâce à la centrale électrique construite par Gilbert Planche. L’Argentière devient alors une ville industrielle. La crise économique des années 1970 et l’éloignement des sources d’approvisionnement poussent l’usine à fermer ses portes en 1985. Elle est partiellement démolie en 1988. Les ouvriers quittent la ville et pour éviter la désertification de L’Argentière, un projet de restructuration est mis en oeuvre.
- Histoire
Louis Leprince-Ringuet et L’Argentière
Louis Leprince-Ringuet a dirigé le Laboratoire de physique de l’X (“X” étant une École Polytechnique à Villeurbanne), installé à L’Argentière. Durant l’été 1942, il y a accueilli plusieurs étudiants juifs leur permettant d’échapper aux nazis et à Auschwitz. Un panneau présente les découvertes de Louis Leprince-Ringuet dans ce laboratoire. Un texte de Bernard Lévi est également affiché. Jeune étudiant juif, il a participé aux recherches du labo durant l’été 1942. Il remercie l’équipe scientifique de lui avoir permis d’éviter d’affronter la barbarie antisémite.
- Histoire
Le compresseur vertical
Gilbert Planche, ingénieur de 22 ans, arrive à L’Argentière-La Bessée pour exploiter l’eau et ouvre une grande usine d’aluminium en 1910.
Le compresseur vertical est l’ancêtre du marteau-piqueur. Les miniers avaient besoin de grande quantité de charbon et l’air comprimé permettait d’accélérer le rendement de charbon. En 1852, Colladon, un suisse, invente le marteau-piqueur pneumatique. Le compresseur vertical permettait de produire de l’air comprimé qui alimentait une perforatrice et simplifiait l’abattage du charbon. Le compresseur est posé à la vertical sur son support, d’où son nom.
Source
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