Parcours trail n°23 - Les Têtes par la Pignée
Description
Le circuit démarre au camping Les Écrins à L’Argentière-la-Bessée. Vous traverserez le stade d’eau vive en empruntant la voie verte jusqu’à rejoindre la zone industrielle puis le rond-point sur l’avenue Charles de Gaulle
- Au rond-point, prendre à gauche, passer sous la voie ferrée puis à droite
- S’orienter à gauche pour rejoindre la Blachière puis s’engager sur un sentier situé au-dessus des Mines d’Argent
- Après avoir traversé le torrent de l’Eychaillon, entamer, sur la droite, une longe montée dans le magnifique single des bois de la Pignée en direction des Têtes
- Arrivé au Lac des Poutilles, s’orienter à gauche pour gagner le point culminant du parcours : les Têtes (2044 m) puis reproduire le chemin dans le sens inverse. Se diriger ensuite à gauche pour descendre au lac des Sagnes puis au Col de la Pousterle jusqu’à Champ Didier
- Franchir le Fournel puis tourner à gauche pour effectuer une grande traversée descendante en direction du Sapey et du Bois de Champ Pelbaud dans une forêt de pins
- S’engager à droite sur l’Ubac puis aller en direction du Plan Léothaud
- Tourner à gauche, traverser la départementale puis la voie ferrée et prendre de nouveau à gauche pour longer la voie et rejoindre le camping Les Écrins jusqu’au point de départ
- Départ : Camping Les Écrins, L’Argentière-la-Bessée
- Arrivée : Camping Les Écrins, L’Argentière-la-Bessée
- Communes traversées : L'Argentière-la-Bessée et Les Vigneaux
Profil altimétrique
Recommandations
Avant de partir en trail, il est impératif de consulter les périodes d’ouverture du parcours sur le site : https://www.onpiste.com/explorer/routes/les-tetes-par-la-pignee-largentiere-la-bessee-2417
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Se renseigner sur les conditions météorologiques avant de partir randonner.
Coordonnées des secours : Secours Montagne : 112
Respecter le travail des agriculteurs, exploitants et propriétaires
Refermer toutes les clôtures
Rapporter tous ses déchets
Ne pas couper l’itinéraire à travers les prairies
Les parcours trail se prêtent également à la marcheLieux de renseignement
Bureau d'Information Touristique de L'Argentière-La Bessée
23 Avenue de la République, 05120 L'Argentière-La Bessée
Maison du Parc de Vallouise
, 05290 Vallouise
Information, documentation, maquette, expositions, projections, vente des produits et ouvrages du Parc. Visites guidées pour les scolaires, réservation obligatoire. La nouvelle Maison du parc a ouvert à Vallouise depuis le 1er juin et propose aux visiteurs une exposition permanente interactive invitant à la découverte du territoire et de ses patrimoines. Un espace d'exposition temporaire permettra une offre renouvelée. Enfin,le dispositif est complété par une salle audiovisuelle permettant d'organiser projections et conférences Entrée libre. Toutes les animations du Parc sont gratuites sauf mention contraire.
Transport
Transports en commun >> www.pacamobilite.fr
Pensez au covoiturage >> www.blablacar.fr
Accès routiers et parkings
Stationnement :
Zones de sensibilité environnementale
Faucon pèlerin
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Faucon pèlerin en période de nidification sont principalement le vol libre et les pratiques verticales ou en falaise, comme l'escalade ou l'alpinisme. Merci d'éviter cette zone !
En cas de survol merci de rester au-dessus de 2140m d’altitude à une distance de 300m sol.
Au site dit de Grand Bois, le couple de faucons a retrouvé son aire de prédilection dans le secteur "flamme de pierre" ; à éviter donc.
http://www.ecrins-parcnational.fr/actualite/amis-grimpeurs-attention-aux-pelerins-voies?fbclid=IwAR2Z8hX_38vpdW3mS499aRnY08jarhfm-5-eNV8K29k3WB3q3Ik2US_Alec
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Vertical
- Périodes de sensibilité :
- févr.marsavr.maijuin
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Circaète Jean-le-Blanc
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.
Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale 300m sol quand vous la survolez soit 1650m d'altitude pour cette zone.
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive
- Périodes de sensibilité :
- marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Circaète Jean-le-Blanc
Nidification du Circaète-Jean-le-Blanc
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.
Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale de 300m sol quand vous la survolez soit 1650m d'altitude !
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive
- Périodes de sensibilité :
- marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Circaète Jean-le-Blanc
Nidification du Circaète-Jean-le-Blanc
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.
Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale de 300m sol quand vous la survolez soit 1850m d'altitude !
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive
- Périodes de sensibilité :
- marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Circaète Jean-le-Blanc
Nidification du Circaète-Jean-le-Blanc
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.
Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale de 300m sol quand vous la survolez soit 1900m d'altitude !
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive
- Périodes de sensibilité :
- marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Les 16 patrimoines à découvrir
- Eau
Le stade d’eau vive
Dans le cadre de sa restructuration, après la fermeture du site industriel, la ville de L’Argentière-la-Bessée s’est orientée vers le tourisme sportif en mettant en avant les éléments naturels présents sur site, à savoir l’eau. Situé au départ du plus grand parcours navigable de la Durance, la commune a décidé d’être un véritable centre d’eau vive en réalisant ce stade en 1993 sur une longueur de 400 m. Ainsi, de par sa notoriété et sa situation, ce stade accueille, chaque année, plusieurs compétitions de renom aux niveaux national et international. - Eau
Le Fournel
Le Fournel prend sa source dans la vallée du Fournel, au cœur du Parc national des Écrins et se jette dans la Durance vers le stade d’eau vive. Il est connu pour être un canyon très ludique pour les hauts-alpins et le plus fréquenté du Haut Val Durance. Il est idéal pour une initiation à la verticalité notamment par la présence de plusieurs sauts, toboggans et rappels. Son accès est autorisé d’avril à octobre et est réglementé car il se situe en aval d’une prise d’eau EDF, ce qui présente un réel danger.
- Eau
La Durance
La Durance est la plus importante rivière de Provence. Elle prend sa source sur la commune de Montgenèvre à 2 390 m d’altitude, pour rejoindre le Rhône, au sud d’Avignon. Cette rivière est « pluvio-nivale », c’est-à-dire que son débit dépend de l’apport naturel en eau dû à la fonte des neiges et aux pluies. Ainsi, elle représente un véritable terrain de jeux pour les kayakistes de l’Europe. - Histoire
La turbine Francis
L’américain James Francis a mis au point la turbine Francis entre 1849 et 1855. Il s’agit d’une turbine “à réaction” adaptée à des moyennes chutes (entre 15 et 500 m de chutes). L’eau entre dans la turbine puis circule entre les aubes directrices et les aubes de la roue, qui sont fixes, alors que la roue intérieure est mobile. La pression à l'entrée de la roue est supérieure à la pression de sortie de la roue.
- Faune
Le hibou petit duc
Dès fin avril, on peut entendre la nuit et même le jour ses tiou très doux. Il revient d'Afrique où il a passé l'hiver, car il est essentiellement insectivore : pour ce petit hibou, de gros insectes (grande sauterelle verte …) font de bons repas. Pour nicher, il s'installe dans un arbre creux ou même dans une cavité en bâtiment. Il affectionne les lieux chauds … et riches en insectes bien sûr ! - Flore
Les orpins
Sur les zones rocailleuses s'étalent de petites plantes « grasses » aux fleurs étoilées, blanches pour certaines espèces, jaunes pour d'autres. Leurs feuilles sont souvent cylindriques, pointues à l’extrémité ou non selon les espèces, et pleines d'eau : vivant sur des lieux secs, elles font ainsi des réserves pour les jours difficiles ! A leur hauteur, si près de la roche, ça chauffe en été ! - Flore
L’apollon
Ce grand papillon blanc orné de taches noires et de points rouges est commun dans les zones chaudes où poussent orpins et joubarbes, plantes hôtes de ses chenilles. Commun, il le reste dans les Alpes mais il s’est beaucoup raréfié ailleurs. Il est d’ailleurs protégé. On constate sa remontée en altitude, en lien avec le réchauffement climatique car ses œufs posés sur les plantes en été ont besoin d’un certain nombre de jours de gel en hiver pour éclore.
- Flore
Le pin sylvestre
Le sentier s'élève d'abord dans une forêt de pin sylvestre, reconnaissable à son écorce saumon, surtout dans sa partie sommitale, et à ses aiguilles assemblées par deux. C'est l'arbre typique des adrets chauds situés à l'étage montagnard dans les vallées intra-alpines. - Faune
Le cerf
Le cerf s'est maintenant bien implanté dans le Pays des Écrins. On peut observer ses indices de présence : traces ou crottes, souvent en petits tapis. Le mâle perd ses bois à la fin de l'hiver (février-mai) puis ceux-ci repoussent jusqu’à fin août. Ils atteignent leur plein développement avant la période du rut (septembre), période à laquelle on peut entendre le brame. La femelle ne porte pas de bois.
- Point de vue
Le belvédère des Têtes
Ce belvédère vaut le détour, non seulement pour son panorama ouvert sur la vallée du Fournel et celle de la Durance mais aussi pour le lieu même, avec ses quelques vieux mélèzes et le calcaire nu entaillé de petites crevasses résultant de l'érosion de la roche par les eaux froides de fonte de neige ou de pluie.
- Faune
La chouette chevêchette
C’est au printemps qu’on peut entendre ce petit rapace nocturne ; ou en automne, période à laquelle il peut lancer de drôles de cris. D'activité diurne et crépusculaire, la chouette chevêchette est une prédatrice de passereaux et de petits rongeurs forestiers. Mais lorsqu'ils la repèrent, les passereaux n'hésitent à venir la houspiller en grand nombre afin de rendre vaine toute tentative d'attaque surprise. Elle est inféodée aux forêts de montagne où elle recherche les arbres à cavité de pic pour établir son nid. - Flore
L’angélique des bois
Au bord des suintements pousse l’angélique des bois, une grande ombellifère (famille des « apiacées ») aux fleurs d’un blanc rosé et à la tige creuse et violacée. C’est une cousine de l’angélique officinale, qui vit en Europe du nord et est cultivée pour ses propriétés médicinales et condimentaires. Ce sont la tige, le pétiole (la « queue ») et la gaine des feuilles que l’on confit.
- Flore
Le sapin blanc
Quelques résineux, dont le sapin, se mêlent aux feuillus. Le sapin se plaît sur ce versant exposé au nord, nommé ubac, car il craint la sécheresse. Ses aiguilles planes sont implantées de part et d’autre des rameaux et non tout autour, ce qui le distingue de l’épicéa. Elles ont deux bandes blanches en dessous. Ses cônes allongés sont dressés et non pendants.
- Flore
L’argousier
Ça et là, on rencontre un arbuste aux feuilles étroites vertes au-dessus et gris argenté dessous. Attention, les rameaux piquent ! En automne, il donne des baies orange vif, acides. Elles sont très riches en vitamines C et meilleures en sirop ou en marmelade ! C'est une espèce pionnière qui colonise les sols alluvionnaires, en situation ensoleillée. Elle a d’ailleurs été utilisée par le service de Restauration des Terrains de Montagne pour stabiliser les versants exposés au ruissellement.
- Faune
Le pouillot véloce
Dès le printemps, un chant d’oiseau, un « tchip–tchap » répété inlassablement résonne dans la forêt. Le chanteur est un petit oiseau au dessus gris verdâtre et blanc jaunâtre, le pouillot véloce. Comme d’autres oiseaux peu visibles, le mâle, s’il veut se faire repérer par une femelle, a tout intérêt à se faire entendre ! Il vit un peu partout, pourvu qu’il y ait des arbres et des buissons, et est migrateur.
- Faune
Le rossignol philomèle
Bien caché dans un buisson, le mâle du rossignol lance son chant sonore et très varié. Quel bavard ! Il chante même la nuit ! Cet oiseau ne dépasse guère 1200 m d'altitude mais à Rame, il est bien présent. Il affectionne en effet les lieux chauds, souvent au bord de l’eau, et niche dans les buissons. Oiseau migrateur, il passe l'hiver en Afrique.
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