La boucle de l'Izoard

Description
- Au départ du parking du Centre Montagne de Villar-Saint-Pancrace, redescendre vers le centre du village en prenant la route sur la gauche puis la première route à gauche qui descend à pic.
- En bas de cette rue, prendre sur la gauche et rouler jusqu'au Villaret.
- Au Villaret, continuer tout droit sur la route principale en direction de Saint-Martin de Queyrières.
On arrive à Saint-Martin de Queyrières sur un rond-point. Prendre à gauche pour passer sur le pont. Au bout du pont, prendre à gauche et suivre la route jusqu'à rejoindre la route départementale pour reprendre la direction de Briançon. - Une fois sur la route départementale, entrer dans le village de Prelles et prendre la première route sur la gauche, pour suivre la direction Les Vigneaux. Continuer tout droit jusqu'aux Vigneaux.
- Dans le village des Vigneaux, lorsqu'on atteint le carrefour avec la route principale, tourner à gauche en prenant la direction de l'Argentière-la-Bessée.
- Arrivé à L'Argentière-la-Bessée, continuez tout droit dans le village.
- A la sortie du village, délaisser la route rejoignant la nationale et continuer tout droit jusqu'à atteindre la montée vers Freissinières et Champcella.
- Au sommet de la côte, tourner à gauche en direction de Champcella et suivre la route principale jusqu'à atteindre Eygliers.
- Arrivé à Eygliers, suivre la route principale pour entrer dans le village et retrouver la route nationale 94. Au stop, tourner à droite et continuez tout droit.
- Au rond-point situé à la sortie d'Eygliers, tourner à gauche en direction de Guillestre.
- A Guillestre, prendre la direction du Queyras et d'Arvieux.
- A l'approche de Château-Ville-Vieille, prendre à gauche en direction du col de l'Izoard.
- Une fois au sommet, redescendre sur Cervières et poursuivre en direction de Briançon.
- Arrivé à Briançon, passer le hameau de Font Christiane et poursuivre la route principale.
- Arrivé au rond-point, en bas de la descente, prendre complètement à gauche et continuer tout droit. Au bout de la rue, on arrive à un rond-point. Poursuivre tout droit. Au rond-point suivant, continuer sur la route principale qui s'incline légèrement sur la gauche et au rond-point encore après, s'engager sur la gauche.
- Après avoir passé le panneau d'entrée de Villar-Saint-Pancrace, rester sur la route principale et tourner à droite au rond-point suivant.
- Ensuite, prendre la première route sur la gauche indiquant "Les Ayes" et le "Centre Montagne". Après avoir remonté la rue, on arrive sur une petite place. Prendre à droite entre les deux maisons. Attention, la rue est étroite et des véhicules peuvent arriver à contre-sens.
- Passer l'étranglement, puis le pont et continuer tout droit. La route s'incline légèrement sur la droite.
- On remarque le panneau "Centre Montagne" en haut de la montée : tourner à droite pour rejoindre le parking.
- Départ : Parking du Centre Montagne
- Arrivée : Parking du Centre Montagne
- Communes traversées : Villar-Saint-Pancrace, Saint-Martin-de-Queyrières, Les Vigneaux, L'Argentière-la-Bessée, Freissinières, Champcella, Saint-Crépin, Réotier, Eygliers, Guillestre, Arvieux, Cervières et Briançon
Profil altimétrique
Recommandations
Sous réserve de conditions d'enneigement et météorologiques favorables.
Lieux de renseignement
Bureau d'Information Touristique de la Clarée
Hameau de Ville-Haute, 05100 Névache
L'équipe du Bureau d'Information de la Clarée - Office de Tourisme des Hautes Vallées vous accueille du lundi au samedi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h puis tous les jours des vacances estivales.
Bureau d'Information Touristique de La Grave
RD1091, 05320 La Grave
Horaires d'ouvertures:
- de mai à mi-juin et de mi-sept. à fin sept. : ouvert du mardi au samedi de 9h-12h/14h-17h,
- de mi-juin à mi-juillet et de mi-août à mi-sept.: ouvert du lundi au samedi de 9h-12h/14h-17h30,
- de mi-juillet à mi-août: tous les jours de 9h-12h/13h30-17h30
Bureau d'Information Touristique de l'Izoard
Accès routiers et parkings
Stationnement :
Zones de sensibilité environnementale
Circaète Jean-le-Blanc
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.
Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale 300m sol quand vous la survolez soit 1650m d'altitude pour cette zone.
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive
- Périodes de sensibilité :
- marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Circaète Jean-le-Blanc
Nidification du Circaète-Jean-le-Blanc
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.
Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale de 300m sol quand vous la survolez soit 1650m d'altitude !
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive
- Périodes de sensibilité :
- marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Circaète Jean-le-Blanc
Nidification du Circaète-Jean-le-Blanc
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.
Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale de 300m sol quand vous la survolez soit 1525m d'altitude !
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive
- Périodes de sensibilité :
- marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Les 16 patrimoines à découvrir
- Géologie et géographie
Le quartzite et les ripple-marks
La roche dans laquelle a été taillé le tunnel est un quartzite, une roche métamorphique, siliceuse, très résistante et constituée de grains de quartz soudés ensemble. Elle est issue de sables déposés il y a 230 millions d'années dans les eaux encore peu profondes de l'océan alpin naissant et apportés par l'érosion des reliefs environnants. Par endroits, sur la paroi du tunnel, des ondulations apparaissent : ce sont des ripple-marks, rides “fossilisées” créées par l’eau sur le sable.
- Savoir-faire
La ressourcerie
L’ancienne école requiert une nouvelle fonction, celle de redonner vie aux meubles et objets obsolètes. La ressourcerie fabrique des objets à partir d’objets dont on ne voulait plus. La production ne fait donc pas appel à de nouvelles matières premières évitant ainsi l’accumulation de déchets. Écologique et équitable, la ressourcerie réduit les déchets et créé des emplois.
- Histoire
Les représentations de la vigne
L’appellation des Vigneaux tient son nom de la culture de la vigne qui était, auparavant, présente sur les coteaux. La vigne est d’ailleurs représentée sur le blason de ville avec un cep de vigne mais également sur les maisons anciennes avec des treilles. Les maisons à pressoir rappellent aussi l’importance de la vigne.
- Point de vue
Le point de vue sur le Massif du Montbrison
Le sentier offre une belle vue d'ensemble sur le massif calcaire du Montbrison, qui surplombe les hameaux de Pelvoux, avec la Cime de la Condamine, la Tête des Lauzières, le pic de Montbrison et la tête d'Amont.
- Histoire
Le village des Vigneaux
Malgré l’altitude, le climat sec de la région et un terroir de calcaire et d’alluvions orienté plein sud ont permis l’implantation de vignes, ce dès le Xème siècle. Le nom de la commune a pour origine la présence de ce vignoble qui fut très important. À la fin du XIXème siècle, l’arrivée quasi simultanée du phylloxera et du train à Briançon, transportant du vin de Provence, mit fin à cette exploitation. - Architecture
L’Argentière-la-Bessée
L’Argentière-la-Bessée recèle un riche passé minier et industriel qui a marqué la culture et le paysage local.
Les mines d’argent, à l’origine du nom de la ville, ont été exploitées jusqu’au début du 20ème siècle. A partir de 1909, la commune connut une intense activité industrielle. La construction d’une centrale hydroélectrique alimentée par un réseau de conduites forcées sera en effet à l’origine de l’installation de l’usine d’aluminium de la « société électrométallurgique française », devenue ensuite l’usine Pechiney. L’usine fermera ses portes en 1985. - Histoire
Les anciennes cités ouvrières
De nombreux ouvriers sont embauchés dans l’usine Péchiney et des cités ouvrières sont construites. Ces cités sont aujourd’hui démolies. L’architecture des maisons étaient différente selon le niveau hiérarchique de l’employé. Une mairie, un cinéma, un kiosque à musique, des églises ont été construits.
- Histoire
Le compresseur mobile
Dans les mines, l’air comprimé permet de chasser la poussière et de créer de l’énergie pour les perforatrices. Le compresseur mobile contient, dans un réservoir résistant, de l’air comprimé qui est amené à une forte pression via une pompe (le compresseur). Une conduite permet ensuite de distribuer l’air comprimé aux machines de la mine.
- Histoire
La turbine Francis
L’américain James Francis a mis au point la turbine Francis entre 1849 et 1855. Il s’agit d’une turbine “à réaction” adaptée à des moyennes chutes (entre 15 et 500 m de chutes). L’eau entre dans la turbine puis circule entre les aubes directrices et les aubes de la roue, qui sont fixes, alors que la roue intérieure est mobile. La pression à l'entrée de la roue est supérieure à la pression de sortie de la roue.
- Histoire
Les radeliers de la mémoire
Durant des siècles, passaient sur la Durance non des kayaks mais des radeaux constitués de troncs de sapins, épicéas ou mélèzes. Le flottage du bois issu des forêts de l'Embrunais ou du Queyras permettait de l'acheminer vers les grandes agglomérations de Provence. Il était utilisé pour le chauffage et pour la construction navale, notamment pour la Marine royale. Une reconstitution de la descente de la Durance s'effectue maintenant chaque année grâce à une poignée de passionnés, les radeliers de la mémoire. - Faune
Le milan noir
Rapace hivernant en Afrique, le milan noir revient dès la fin mars aux environ de ce tronçon de la Durance. Se nourrissant de charognes, de poissons ou même de déchets, il est lié aux abords des grandes rivières comme la Durance. Un peu plus gros qu'une buse (150 cm d'envergure), il se reconnaît à sa queue légèrement échancrée et à son plumage assez sombre. - Faune
Le milan noir
Un rapace tourne lentement au-dessus de la vallée. Il est sombre avec une queue légèrement échancrée. Un milan noir, revenu d'Afrique au printemps. Il se nourrit de charognes ou de déchets ainsi que de poissons. On peut le confondre avec le milan royal, marron, roux et blanc avec une queue beaucoup plus échancrée. Ce dernier ne niche pas dans le massif. C'est seulement pendant les périodes de migration que l'on peut l'observer dans la vallée de la Durance.
- Histoire
Petites et grandes migrations religieuses
Du fait de son implantation stratégique, l’histoire de Pallon est riche et mouvementée. A la croisée des chemins, Pallon est aujourd’hui une étape du GR 653D Montgenèvre – Arles qui suit la voie domitienne empruntée par les pèlerins d’Italie en route pour Compostelle et les pèlerins français en route pour Rome !
- Géologie et géographie
Un tsunami médiéval ?
Pallon marque l’entrée dans l’ancienne vallée glaciaire de Freissinières, fermée derrière un verre de roches dures. En fondant, les glaciers avaient laissé un lac piégé par ce verrou. La tradition rapporte la rupture, à plusieurs reprises, de ce barrage naturel. Les eaux, libérées brutalement dans le gouffre de Gourfouran, auraient provoqué au Moyen-Âge la ruine du village de Rame, installé dans la plaine.
- Flore
Le Pins à crochets
Le Site natura 2000 Rochebrune - Izoard - Vallée de la Cerveyrette bénéficie de massifs forestiers très diversifiés dont les pins à crochets présents sur le massif de l'Izoard. Cet arbre représentatif de l'étage subalpin est un des plus ancien pins européens, survivant de l'ère glaciaire. Il abrite de nombreux animaux tels que le Grand Tétras et le Bec croisé. - Histoire
Le Fort de la Lausette
La construction d'une route escaladant les pentes par le ravin de la Combe de la Lause sur plus de 800m de dénivelé permit l'édification de batteries d'artillerie, des baraques et blockhaus défensifs dès 1885 dans un site grandiose de haute montagne. Le fort est un bâtiment rectangulaire à un seul niveau construit en moellons, couvert d'une dalle en béton et flanqué de bastionnets. Le lieu est occupé dès 1886. Il s'agit ici d'avantage d'un site naturel organisé défensivement que d'un ouvrage de fortification.
Source

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